vendredi, mars 16, 2018

Si le « machisme » disparaît, que devient Caroline de Haas ?

Si le racisme disparaît, que deviennent les anti-racistes ? Si les accidents de la route disparaissent, que devient la Sécurité Routière ? Si l’homophobie disparaît, que deviennent les militants LGBTQXYZ ?

Quand l’activisme est institutionnalisé, que des gens en vivent, à la fois financièrement, socialement et narcissiquement, les activistes ont intérêt à entretenir le problème plutôt qu’à le résoudre. C’est pourquoi ils en étendent la définition continument (d'où le grotesque rajout de lettres après LG -B-T-Q), jusqu’au ridicule (si nous avions encore assez d'intelligence pour avoir le sens du ridicule), afin de conserver leur gagne-pain.

Cette activisme sans fin, minoritaire mais très virulent, pourrit toute la société. Et la cause même qu’ils sont censés défendre.

Il y a une solution simple : retirer le saladier de punch, les subventions ouvertes et les subventions déguisées (comme certaines obligations légales, qui obligent à prendre certains conseils et certaines formations). Mais quel politicien aura ce courage ?

Nota : je mets « machisme » entre guillemets parce que c’est un mot-arme de destruction de la virilité comme les gauchistes en produisent tant.



Un petit hommage, une fois n'est pas coutume, à une gauchiste (elle se définit comme telle) : Lindsay Sheperd a 23 ans et il lui est arrivé une mésaventure hélas assez commune, mais elle a réagi de manière peu commune, préférant la vérité et l'honnêteté à la conformité idéologique. Une anti-de Haas, sur tous les plans.





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