mercredi, juin 15, 2016

Terrorisme islamique : s’il n’y avait qu’une seule mesure à prendre …

S’il n’y avait qu’une seule mesure à prendre contre le terrorisme islamique dans les pays occidentaux, ce serait celle préconisée par Trump : zéro immigration musulmane. Un vrai zéro, pas de regroupement familial, pas de droit d’asile, pas d’étudiants.

Cette mesure, en plus d’être très efficace à long terme, est un signal on ne peut plus fort : « Nous avons changé de vision du monde : les hommes ne sont plus interchangeables, nous voulons vraiment défendre notre pays, nous cessons d’être soumis aux faiseurs d’opinion islamophiles, l’immigration n’est plus forcément une chance … ».

Bien sûr, il y a bien d’autres décisions à prendre (Une mesure efficace contre le terrorisme : le flingue pour tous, Pourquoi un Guantanamo français serait la solution la plus démocratique, L’Etat de droit commence avec le rétablissement de la Loi et de l’Ordre.), ne serait-ce que parce qu’elle ne règle pas le problème des terroristes déjà présents, mais celle-ci est la plus importante, celle qui fait basculer toute la politique.

C’est pourquoi l’élection de Trump (à laquelle je ne crois pas plus qu’au Brexit, mais je ne demande qu’à être démenti) serait très intéressante.

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Yves Roucaute dans Atlantico (je souligne) :

il est clair qu'il n'est pas normal que nous ne prenions pas au sérieux cette guerre menée sur notre sol, que nous relâchions des gens qui menacent la sécurité des Français, qui tiennent des propos ouvertement salafistes, qui ont des comportements salfistes, qui sont fichés S pour islamisme radical, qui soutiennent les terroristes.

Les individus qui soutiennent ceux que combattent nos troupes sont nos ennemis. En termes juridiques, ces individus, qui ont fêté les attentats par exemple comme on le vit à la maison d’arrêt de Villepinte qui était en liesse après les attentats contre la supérette casher et le journal Charlie, commettent des actes de trahison. Le code pénal est clair dans ses articles 411-2 à 411-11. Ils doivent être sanctionnés. Il est anormal que l'on utilise pas ces textes légaux, le laxisme devient chaque jour lus insupportable. La question n'est pas de supprimer la liberté dans ce pays, mais lorsque des gens sont complices de ceux que l'on combat, il faut les punir et les mettre hors d’état de nuire. Et que l’on ne vienne pas nous dire que le Conseil d’Etat ou une autre institution judiciaire ne permettraient pas de neutraliser nos ennemis comme le fait l’actuel ministre de la justice. Il faut que ceux qui nous gouvernent, malheureusement plus souvent gestionnaires type ENA, que politiques, apprennent que la société n’est pas au service du droit mais que c’est le droit qui est au service de la société. Et qu’un Etat de droit n’est pas un Etat qui permet le viol des libertés, en particulier de la première d’entre elles, la propriété et la sécurité de son corps, le droit à la vie, mais qu’il est là pour l’assurer. Si les textes ne le permettent pas, il faut changer les textes. Si des institutions telle que le Conseil d’Etat ne le permettent pas il faut changer les institutions. Précisément l’Etat de droit, c’est l’Etat de la vie selon un droit conforme à la protection de nos libertés.

Nous manquons au niveau politique d'un Georges Clémenceau qui rappelons le, avait réprimé très sévèrement les gauchistes de l'époque, qui prétendaient pouvoir saboter les forces militaires françaises. Nous manquons d'un général de Gaulle qui, à la libération, avait puni sévèrement ceux qui avaient collaboré avec l'ennemi. Ceux qui publient des tweets exprimant leur sympathie avec l'Etat islamique, celles qui portent le niqab, sont eux-aussi dans un processus de trahison. Il faut agir, au moins avec le droit et les forces existants.

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