samedi, juin 27, 2015

Moi je fais un amalgame

Fil de commentaires pris ici à propos des taxis :


  1. Robert Marchenoir | 27 juin 2015 at 2 h 19 min | Répondre
    Il y a un fait qui n’a pratiquement pas été relevé, sauf par un homme politique socialiste dont je n’ai pas noté le nom : parmi les protestataires, a-t-il dit pour les défendre, il y a de nombreux « jeunes » qui ont fait des sacrifices pour acheter une plaque et se sortir de leur cité.
    Par ces mots codés, le chef socialiste fait un aveu qui, une fois traduit en français, est plus brutal : ce sont des Arabes, donc ils ont tous les droits et on ne peut que les laisser mettre le pays à feu et à sang.
    En quelques décennies, la profession de taxi parisien est en effet passée d’une citadelle corporatiste parigote et franchouillarde, à une citadelle corporatiste immigrée et musulmane.
    Le précédente agitation de la corporation taxistique, assortie de violences, portait sur… l’organisation de « la prière » (en novlangue dans le texte des médias) à l’aéroport de Roissy. L’organisation de la quoi ? Eh oui, désormais les taxis lèvent le cul en l’air en cadence pendant les horaires de travail. Car il ne s’agit pas de prières catholiques, pour ceux qui auraient un doute.
    Les chefs des syndicats de taxis CGT et CFDT portent des noms impeccablement arabes. Nous avons donc ici l’aboutissement d’un phénomène que j’avais annoncé depuis longtemps, à savoir la convergence de la mafia syndicale à la française et de la mafia arabo-musulmane. Vous avez aimé les gros bras de la CGT ? Vous adorerez les gros bras de la CGT musulmans. Quand vous multipliez le pouvoir de nuisance des uns par celui des autres, le résultat explose de façon logarithmique.
    Les taxis français ont toujours été des têtes de cochon, mais jusqu’à présent ils ne fracassaient pas la tête de leurs clients à deux contre un, et ils ne mettaient pas le feu aux voitures.
    Pour les Arabes, en revanche, c’est un comportement normal : on vient d’en avoir la preuve une fois de plus.
    Les scènes d’émeute urbaines auxquelles nous venons d’assister ne sont pas un « conflit social » : c’est une forme de plus du djihad. Une mafia ethnique de quelques milliers de personnes a le pouvoir de bloquer les gares et les aéroports de Paris, et de mettre la pagaille dans la capitale elle-même en détruisant 70 voitures et en exerçant des violences contre les personnes. Si ce n’est pas un acte de guerre, je ne sais pas ce que c’est.
    Même chose aux Etats-Unis (en plus atténué, parce que les Américains sont tout de même moins lâches que les Français) : les aéroports de différentes grandes villes sont tenus par des chauffeurs musulmans, qui exercent quand cela leur chante l’habituelle intimidation prescrite par le Coran : un jour, ils prétendent que « la religion » leur interdit de prendre les voyageurs accompagnés de chiens, quelque temps plus tard ils prétendent que « la religion » leur interdit de prendre les voyageurs porteurs de bouteilles de vin.
    Tout est bon pour faire comprendre qui est le chef, et qui a le pouvoir de paralyser l’économie, la circulation et la vie du pays.
    • Cela a le mérite d’être dit !! ci dessous les représentants syndicaux de la profession : Abdel Ghaffi CFDT Karim Asnoun CGT Ibrahima Sylla taxis de France (sic)
  2. Robert a raison : il suffit de voir les photos, les vidéos des « événements » et alors ça saute aux yeux.
    On a déjà vu exactement les mêmes scènes, les mêmes têtes, les mêmes voix… mais dans les banlieues.
    Le parallèle est saisissant.
    Voir Hollande se mettre à genou à la vitesse de la lumière, et supporter les casseurs, en dit long sur le délabrement de l’idée de force publique, de l’autorité.
  3. Robert Marchenoir | 27 juin 2015 at 13 h 03 min | Répondre
    Preuve de l’incroyable privilège dont bénéficient les chauffeurs de taxi musulmans : un homme, accusé par les chauffeurs de taxi de conduire habituellement un VTC, vient d’être condamné à six mois de prison ferme pour avoir utilisé une bombe lacrymogène en direction d’une soixantaine de chauffeurs de taxi qui l’insultaient et le menaçaient.
    Dans les faits, il n’ira pas en prison, mais mesurez cela : le parquet a requis un an de prison ferme contre lui, et il a été condamné à six mois de prison ferme, uniquement pour… avoir fait pleurer (peut-être) des voyous qui le menaçaient à soixante contre un, dont on sait qu’ils sont capables de graves violences.
    Je vous laisse le soin de collectionner les innombrables peines, beaucoup moins lourdes, requises et prononcées à l’égard de voyous d’origine immigrée s’étant livrés à des agressions physiques graves sur des personnes.



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