jeudi, juin 27, 2013

Une tendance à la remontée des dépenses publiques : nous boirons le calice jusqu'à la lie


Comme prévu, nous irons jusqu'à la banqueroute, à cause du clientélisme.

Bien loin de profiter du répit donné par les taux bas pour réformer, le gouvernement en profite pour continuer à creuser les déficits pour acheter des clientèles en vue des élections municipales de 2014. Et le peu d'efforts qui sont imposés le sont au privé, déjà sur-imposés.

Plus que jamais les hommes de l'Etat se comportent comme des parasites qui tuent leur hôte à force de le saigner.

Comme dit Jean-Pierre Petit, il y a que trois régulateurs du gouvernement : les marchés, l'Allemagne, la rue et, pour l'instant, aucun de ces trois régulateurs n'empêche le gouvernement de dépenser.

Les experts BFM 26 juin 2013

Je suis, hélas, en plein accord avec Jean-Pierre Petit sur le fait que la spirale de la décadence est toujours aussi active et que la piscine de la connerie n'a pas de fond. Ce n'est pas parce que la situation va empirer que, soudain, nous allons prendre par miracle les bonnes décisions, non il se peut que nous prenions des décisions plus désastreuses encore. Comme disait Montaigne, un bien ne succède pas forcément à un mal, un mal pire encore peut succéder à un mal.



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