jeudi, août 16, 2012

Pourquoi les mauvaises idées ne meurent jamais

Je vous ai déjà posté ce texte, mais il me paraît assez important pour le répéter.

Why bad theories never die

Au fond, Dalrymple touche le drame de la démocratie : c'est moins fatigant et plus facile d'être con que d'être intelligent. Donc, à la fin des fins, les cons ont la peau des autres à l'usure.

C'est pourquoi la liberté d'expression totale porte en elle la mort de la démocratie, à cause de la pente vers la connerie : si on laisse tout le monde s'exprimer de tout son saoul, ce sont les cons qui ont le dernier mot.

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